J'vais rédiger un background plus en accord avec mon personnage actuel qui a tracer un parcours plutôt long maintenant.
ICI le lien de la V1, la partie OTM --> PIRU (R2) d'Alisha:
http://gtasamp.meilleurforum.com/t218284-background-alisha-davis-5-juin#3753336
C'est encore en cours de rédaction pour cette V2 et j'emmerde la présentation, j'ai pas l'temps pour ça pour l'instant.
Bordel, elle est loin l’époque de la gamine qui se prélassait tranquillement sur l’insane avenue, j’ai une foutue multitudes de souvenirs qui me reviennent en ce moment et j’en reviens toujours pas de la tournure que les évènements ont pu prendre.
Avec tout ce parcours, j’en ai oublié mon ancienne famille, la voix de ma mère, la bouille d’ange de mon petit frère, j’ai vraiment aucune idée de ce qu’il a pu devenir, mais ce dont je rêve maintenant, ce serait de le mener jusqu’au sommet, ici, sur IDLEWOOD, en faire quelqu’un qui pourrait reprendre mes rênes, s’emparer de CRENSHAW et faire pérenniser mon nom à travers d’actes encore plus barbares que les miens.
Sauf qu’en vrai, au fond de tout ça, j’en renferme une putain de tristesse, tout ce que j’évitais à l’époque était devenu mon mode de vie ; six ans dans les parages, ça m’a changée.
Je compte plus le nombre de vie que j’ai eu à prendre, le nombre de vie que j’ai prises par envies passagères, et par-dessus tout ça, qui était la première personne que j’avais tué ?
Je voulais que mon blase parcourt les rues, qu’il retentisse jusqu’au fin fond des blocks, qu’on hésite à le prononcer comme dans une putain de légende urbaine, imaginez le tableau : « Tu dis trois fois Bloody A sur Insane et elle apparaît, lame à la main, pour te taillader la gorge », et tout ça, ça marchait. Je voulais qu’on me craigne, et je faisais ce qu’il fallait pour y arriver, j’ai toujours fais ce que j’avais à faire pour me créer des problèmes, mais je voulais aussi en créer aux autres.
Malgré tout ce bordel, toute cette réussite, j’étais rongé par un mal plus grand que moi encore, et rien y fait, je n’ai surement pas trouvé la bonne méthode pour m’y prendre, et à défaut d’en parler à quelqu’un, je me parle à moi-même dans mes instants les plus sombres… Seulement, ce n’est pas toujours beau à voir.
A vrai dire, l’écrire me fait marrer, je flingue pour mon plaisir, j’égorge les merdeux qui me prennent la tête, et avec la réputation qui me précède, tout le monde sait que j’ai découpé les burnes d’un enfoiré de latino. Sauf qu’avec tout ça, le fait est que je n’arrive même pas à contrôler mes émotions, je ne suis pas foutue de garder mon sang froid, ni même de tenir une humeur stable et rien que d’y penser ça me donne ces pulsions meurtrières, ces diverses insomnies où je tourne sans cesses sur mon matelas avec des sueurs froides qui ruissèlent le long de mon dos, cette voix, celle de mon moi intérieur qui me susurre à l’oreille que tout ça ne vaut pas le coup.
Sauf que je me plais dans cette atmosphère glaciale, je n’ai plus rien à demandé à personne, j’ai ce que je veux, et je l’ai quand je le veux.
J’avais mis la pression à ce propriétaire sur Crenshaw, il fallait que je chope la possession d’un des blocks de là bas, mon foutu repère, que je pourrais alors transformer à ma guise en ce que les autres appelleraient l’enfer sur Idlewood. Quand les plus jeunes de la famille me craignent, je me revois moi à leur âge quand je faisais demi-tour sur moi-même pour éviter les OGs qui déboulaient dans les rues avec toujours une armée derrière eux, une nation.
Cette nation au bandana rouge, que j’ai appris à aimer, à protéger et dont je fais partis du sommet maintenant, ma putain d’foutue FAMILLE de guerriers.
C’est vrai qu’à l’époque, j’étais restée pour Lina et Lean, mais maintenant, les plus anciens que je connais et qui sont encore en vie, c’est ceux dont je partage le rang, chaque jours qui passent je me dois de montrer qui je suis, que je suis fière de ce que je suis devenue et que même le diable perds ses cornes face à moi.
Mes activités prenaient des proportions énormes, et après six ans, personne ne m’avait encore mit de bâtons dans les roues, c’était mon destin.
Les BOPS n’ont rien, les plus aventuriers meurent, et ceux qui se sentaient le courage de m’emmerder rebroussaient vite chemin en direction de leurs vies paisibles mais si minables.
Je suis la personne en qui je fais le plus confiance, je ne crains rien.
(En foutu cours de rédaction)
ICI le lien de la V1, la partie OTM --> PIRU (R2) d'Alisha:
http://gtasamp.meilleurforum.com/t218284-background-alisha-davis-5-juin#3753336
C'est encore en cours de rédaction pour cette V2 et j'emmerde la présentation, j'ai pas l'temps pour ça pour l'instant.
Bordel, elle est loin l’époque de la gamine qui se prélassait tranquillement sur l’insane avenue, j’ai une foutue multitudes de souvenirs qui me reviennent en ce moment et j’en reviens toujours pas de la tournure que les évènements ont pu prendre.
Avec tout ce parcours, j’en ai oublié mon ancienne famille, la voix de ma mère, la bouille d’ange de mon petit frère, j’ai vraiment aucune idée de ce qu’il a pu devenir, mais ce dont je rêve maintenant, ce serait de le mener jusqu’au sommet, ici, sur IDLEWOOD, en faire quelqu’un qui pourrait reprendre mes rênes, s’emparer de CRENSHAW et faire pérenniser mon nom à travers d’actes encore plus barbares que les miens.
Sauf qu’en vrai, au fond de tout ça, j’en renferme une putain de tristesse, tout ce que j’évitais à l’époque était devenu mon mode de vie ; six ans dans les parages, ça m’a changée.
Je compte plus le nombre de vie que j’ai eu à prendre, le nombre de vie que j’ai prises par envies passagères, et par-dessus tout ça, qui était la première personne que j’avais tué ?
Je voulais que mon blase parcourt les rues, qu’il retentisse jusqu’au fin fond des blocks, qu’on hésite à le prononcer comme dans une putain de légende urbaine, imaginez le tableau : « Tu dis trois fois Bloody A sur Insane et elle apparaît, lame à la main, pour te taillader la gorge », et tout ça, ça marchait. Je voulais qu’on me craigne, et je faisais ce qu’il fallait pour y arriver, j’ai toujours fais ce que j’avais à faire pour me créer des problèmes, mais je voulais aussi en créer aux autres.
Malgré tout ce bordel, toute cette réussite, j’étais rongé par un mal plus grand que moi encore, et rien y fait, je n’ai surement pas trouvé la bonne méthode pour m’y prendre, et à défaut d’en parler à quelqu’un, je me parle à moi-même dans mes instants les plus sombres… Seulement, ce n’est pas toujours beau à voir.
A vrai dire, l’écrire me fait marrer, je flingue pour mon plaisir, j’égorge les merdeux qui me prennent la tête, et avec la réputation qui me précède, tout le monde sait que j’ai découpé les burnes d’un enfoiré de latino. Sauf qu’avec tout ça, le fait est que je n’arrive même pas à contrôler mes émotions, je ne suis pas foutue de garder mon sang froid, ni même de tenir une humeur stable et rien que d’y penser ça me donne ces pulsions meurtrières, ces diverses insomnies où je tourne sans cesses sur mon matelas avec des sueurs froides qui ruissèlent le long de mon dos, cette voix, celle de mon moi intérieur qui me susurre à l’oreille que tout ça ne vaut pas le coup.
Sauf que je me plais dans cette atmosphère glaciale, je n’ai plus rien à demandé à personne, j’ai ce que je veux, et je l’ai quand je le veux.
J’avais mis la pression à ce propriétaire sur Crenshaw, il fallait que je chope la possession d’un des blocks de là bas, mon foutu repère, que je pourrais alors transformer à ma guise en ce que les autres appelleraient l’enfer sur Idlewood. Quand les plus jeunes de la famille me craignent, je me revois moi à leur âge quand je faisais demi-tour sur moi-même pour éviter les OGs qui déboulaient dans les rues avec toujours une armée derrière eux, une nation.
Cette nation au bandana rouge, que j’ai appris à aimer, à protéger et dont je fais partis du sommet maintenant, ma putain d’foutue FAMILLE de guerriers.
C’est vrai qu’à l’époque, j’étais restée pour Lina et Lean, mais maintenant, les plus anciens que je connais et qui sont encore en vie, c’est ceux dont je partage le rang, chaque jours qui passent je me dois de montrer qui je suis, que je suis fière de ce que je suis devenue et que même le diable perds ses cornes face à moi.
Mes activités prenaient des proportions énormes, et après six ans, personne ne m’avait encore mit de bâtons dans les roues, c’était mon destin.
Les BOPS n’ont rien, les plus aventuriers meurent, et ceux qui se sentaient le courage de m’emmerder rebroussaient vite chemin en direction de leurs vies paisibles mais si minables.
Je suis la personne en qui je fais le plus confiance, je ne crains rien.
(En foutu cours de rédaction)