Wisley Booker, est née le 15 novembre 1998 à Baltimore dans un hôpital nommé l'Hôpital John Hopkins. Il est assez grand pour son âge, il est très sportif et pratique la boxe anglaise. Il est pratiquement chauve sur la tête, des yeux bruns et il a plusieurs style vestimentaire, en passant par Old School et Bling-Bling ou une lourde veste en cuir avec un simple bas. La mère de Wisley est morte après l'accouchement de ce dernier, son père en n'a pris tous de suite la garde, il n'a pas totalement de famille si ce n'est que du côté de son père car la famille côté maternelle a tous de suite coupé les ponts après le drame qui c'est produit.
Tu vois, Baltimore c'est mon quartier d'origine, le quartier ou toute cette merde à commencer car un enfoiré de négro m'avait rentré dans le crâne qu'avec l'argent on pouvait tout avoir. Que rêver de plus ? Sortir du ghetto ? Avoir un diplôme de haut niveau ? Être dans un trou perdu en gérant des affaires à l'extérieur ? Non. J'étais un putain d'enfoiré à cette époque-là, tout ce que je cherchais c'était dominé les autres comme un enfoiré d'riche, avoir le pouvoir seulement en jetant quelques billets sur lui, marché dans la rue en laissant mes chaînes en OR résonné, que les regards se tournent sur moi comme une célébrité qui marche dans la rue.
Et vous savez quoi ? J'ai eu le droit à ce privilège. Le même négro qui m'avait raconté toutes ces banalités organisées des putains de matchs "sans issue". Tu sors pas tant que t'es pas au tapis négro, tu t'bats, la seule règle qu'il y a dans ces putains de matchs c'est que t'es obligé de faire gagner les enfoirés qui ont mis des billets sur ton dos, tu m'suis ? J'avais du talent, je m'en cache pas, ces enfoirés de négro qui était en face de mes deux poings finissaient par tombée tête première au sol au bout de quelques minutes. Putain de merde, ces enfoirés qui pariait sur moi me regardaient comme une star. On parlait de moi au quartier. "Ouais Wisley il a encore mis un gars au tapis, putain s'négro est une bête, ouais ouais". Et ça résonnait comme ça, dans tout le quartier, les rumeurs s'étendaient, les gens voulaient que je boxe pour leur propre compte, j'étais convoité chez des gens à venir faire des soirées, putain la belle vie, merde. Sauf que ce négro m'avait dit une troisième chose, et cette fois-ci c'était pas des conneries mais à force de l'entendre raconter de la merde à longueur de journée, j'ai l'ai pas cru, ce qu'il m'avait dit, c'était qu'on trouvait toujours plus fort que soit un jour.
Je devenais réputé pour faire gagner du fric aux gars, les victoires s'enchainaient, les gens mettaient des sommes incroyables sur mon dos, cette pression dans le match, c’était pas la même que dans mon premier match, non autre chose, la pression de se retrouver dans un trou peut être mort si le négro d'en face m'envoyer au tapis, c'était pas un match. Pour moi c'était de la survie et de plus en plus la vie me dégoutait à force de vivre avec cette pression. Petite pensé à ma mère dans ces moments-là, elle qui a laissé sa vie pour me mettre au monde, elle qui me regarde d'en haut et qui me protège encore, elle qui m'a empêché de prendre le fusil de papa pour me mettre une balle dans l'crâne. Et puis là... noir total.
Je me suis réveillé dans une maison, avec quatre gars qui étaient défoncés à l'alcool et à la drogue, un des négros s'est approché de moi, et m'a demandé une somme de 4,000$. Ce fils de pute sentait l'alcool, mais il avait encore la conscience que je lui avais fait perdre son fric, vous avez compris, un négro m'avait envoyé au tapis cette nuit là. Et tu vois, y a un truc qui m'a fait rire sur le coup. Quand je gagnais, c'était soirée de fou avec plein de pote à moi, sauf que là j'ai perdu et c'était quatre négros qui réclamait leurs frics, marrant non ? J'étais naïf à cette époque. Je touchais rien du tous sur les paris si ce n'est que " 50$ par match gagné", ahah quel bande enculés. Ils savaient très bien que j'avais pas de quoi les remboursés, alors ils m'ont posés un ultimatum. Putain, tu sais c'était leurs ultimatum à la con ? Je devais rentré dans leurs petite bande de merde, et faire des coups avec eux pour remboursés le fric. A cette époque là, j'avais quatorze ans, mais j'ai bien compris que l'âge n’influençait plus dans ces choses là. Au bout d'un certain moment c’était devenu une routine, je sortais de chez moi, je tapais le high-five à toutes la compagnies, on se posaient sur le canapé dehors à regardé des culs passés, à faire du rap parfois, discuté, puis on passait aux choses sérieuses. Ces gars là déconnaient pas, je le sais car ils m'ont tout appris, comme tirer avec un flingue, comme conduire une caisse, comment reconnaître et éviter les flics, garder son sang froid quand on ce fait passé à tabac, faire un échange discrètement. Putain, tu m'crois ils m'ont appris le langage des signes ?! Ahah. On tirait des caisses à longueur de journée, des vols à l'arrache, on vendait de la daube à ces enfoirés de toxico, parfois quand on avait rien à faire, on allaient guettés pour une journée dans un batiment qui fournis en drogue. Bref, une vie de merde quoi, mais qui plaisait quand même.
J'ai remboursé l'argent en 4 mois, ils étaient satisfait, ils m'ont même demandé si je voulais pas continué, ça s'voyait que j'allais leurs manqués ahah, tous nos délires, c'est vrais que ça me tentait complètement, mais je pouvais pas laissé une bêtise prendre le dessus sur mon rêve, je savais que tôt ou tard je partirais en taule si je continuais, donc j'ai arrêter. Au bout du cinquième mois, mon père a eu une promotion il allait être transféré au docks de Los Santos pour travaillé là-bas, quel merde, moi qui voulait resté sur Baltimore, mais bon c'était peut-être le début de quelque chose, qui sait mon rêve allait peut-être ce réalisé, on verra bien.
Je suis arrivé dans ce quartier avec mon père, et mon père m'a demandé de regardé un négro qui avait le bandanna rouge, tu m'suis ? Il m'a dit que c'était un "blood". YO ? Un "blood" t'es sérieux ? On parle que d'eux, Blood'N Crips, les gars s'tirent dessus pour des couleurs c'étais cette fameuse rumeurs qui tournait un peu partout. Ahah, quel bande de con, s'tiré dessus pour des couleurs, faudrait vraiment avoir un poid chiche dans la tête pour faire ça. Parcontre, ils avaient peut être beau avoir un pois chiche dans la tête ces négros-là déconnaient pas, ça s'voyait, ça ce sentait quand tu marches dans la rue et que t'es étrangé tu sens les regards ce porté sur toi comme un ennemis, tu vois ? Sur le coup, je me suis demandé de nombreuses fois... dans quel merdier je suis tombé ? Seul dieu le sait.
Un de ces quatre, mon père m'a dit qu'il d'aller jeter les poubelles. Il était quoi ? 22h00, quelque chose par là, ouais. Et tu sais la nuit, dans les ghettos c'est là où il y a le plus de mouvement, les gens font la fête, d'autres guettent, d'autres deals, d'autres se font tirer dessus, bref pas besoin de vous faire un dessin, c'est le bordel, mais on va pas se voiler la face c'était cool ! Je suis un fêtard moi. J'aime les ambiances comme ça, ça me rappelle Baltimore, mais bon n'en parlons pas, on n'est à Idlewood là, faut oublier le passé. Ou en étais-je ? Ouais... Je descends les poubelles... Je jette les poubelles, et un négro vient me voir, tu vois ? Il me tape le high-five, je suis le mouvement et on papote rapidement, puis je lui fais je suis un boxeur, un vrai, le négro m'a proposé de me trouver des gars pour boxer mais pour de l'argent, pas gratuitement donc ça arrangeait le truc, il m'a dit 50/50. 50/50 ?! Merde! Je marche. Donc, le négro me dit avant qu'il commence à mettre de l'argent sur moi, il regarde de quoi je suis capable, je lui dis vas-y trouve moi un adversaire négro. Et là, un autre gars nous écoutait en douce et il vient comme ça, puis il m'dit viens derrière une maison, on fait un street-fight. YO ? T'es chaud négro . Tu veux t'mesurer au grand Knuckle Wis, t'es sérieux ? Putain, mais vas-y, va derrière la maison. Donc on arrive, tout ça. Le gars, Sidney qui s'appelait, il lance le départ. Je vous raconte pas la suite. (pouffant de rire)
Un K.O, pas n'importe lequel, c'est celui qui va marquer mes premiers pats sur Idlewood, c'est mon premier K.O. Alors, le négro vient me voir tout ça, me dit.. " MERDE NEGRO, OUAIS T'ES UNE BETE, JE VAIS T'PRESENTER A DES GARS. " Il était hyper chaud tu vois ?! Donc, le temps passe, et au bout de quelques jours, il me présente deux négros ! J.R et MarCK. Les deux avaient ce fameux bandana rouge, et Sidney avait ramené un autre négro pour se battre devant moi, au début j'ignorais qu'il était inbattu sur Idlewood, c'était Dizzy. J.R a dit avant le match "celui qui gagne ce match, gagne mon respect." donc, J.R lance le match, et le négro vient direct sur moi, putain il déconnait pas lui non plus. Mais il a oublié un truc! C'est qu'il était contre le grand Knuckle Wis, le négro qui a une défaite sur cent! Alors... Le négro s'bat, je met bat aussi, et la noire total. Non, pas pour moi, pour lui cette fois-ci, K.O. J.R, MarCK & Sidney était sur le cul, mais il me regardait pas comme un boxeur on dirait, ils me regardaient comme une liasse de billets de mille putains de dollars! Alors ces trois-là se sont battus, et battus pour obtenir les pourcentages sur les prochains matchs, et après tout ça... J.R m'a félicité, et m'a dit qu'on allait faire beaucoup de choses ensemble, sur le coup, je m'en rendais pas contre dans quoi je m'engagais exactement.
MarCK m'entrainait tous les matins à huit heures, des vrais entrainement ceux ou t'en sors que quand t'as craché tes triples au sol, putain de merde. Au bout d'une semaine on n'a relaché un peu l'entrainement, et il m'a pris dans sa caisse un de ces quatres, et il m'a demandé si je voulais me faire du fric, tu vois ? Je lui ai dit que, le fric que je voulais me faire c'est seulement en boxant. Il a rigolé un bon coup, comme-ci je lui avais dit une blague, ensuite il m'a dit que la boxe ne m'apporterait rien, que je ne trouverais pas de manager, que les limites du ghetto m'enpecheraient de passer sous la troisième corde, vous m'suivez ? Je le croyais pas putain de merde, ce négro était entrain de m'annoncé que mon rêve ne ce réaliserait jamais ! Alors, moi je l'ai pas cru, et vous savez qu'es qu'il a fait ? Il m'a enmené chez le rappeur MadDog, simplement pour qu'il parle de moi, histoire de faire du buzz, merde MadDog, ce négro là tous le monde le connait, je savais qu'il allait dire oui ! Arrivé à sa porte, ce négro m'a demandé du fric pour faire ça, sinon je vais m'faire foutre. J'étais déçu, et cette enfoiré de MarCK me narguait dans la voiture, comme un enculé.
Ce négro a repris son sérieux, il m'a fixé dans le blanc des yeux. Et il m'a posé la question une deuxème fois. " Es-que tu veux te faire du fric ? " Et là.. putain, là je l'ai pris au sérieux.
Dernière édition par Knuckle Wis le Jeu 21 Aoû 2014 - 23:46, édité 6 fois
